Révolution de palais

Florence, poussée à ce qu'elle a de douloureux depuis son double freestyle-ollie-des-bois dans l'escalier par Anne-Marie, a attaquée sous les ordres de cette dernière un chantier inespéré ; la rénovation "à pas cher" de la cuisine, vu qu'elle était franchement déguelasse et que ça gonflait chacun de nous d'envisager un jour d'avoir à le faire, puisqu'on va la détruire tôt ou tard.

Et donc ; pif ! Voila ces dames qui se mettent à tout vider et à s'attaquer la l'épaisse couche de crasse qui tapissait les murs de cet endroit maudit (maudit car appellé à une destruction totale, je l'ai déja dit....). Un petit coup d'huile de coude de presque toute la famille (disons de ce qu'elle a de plus féminin plus moi) et le tour était joué. Incroyable. Au final : une cuisine méconnaissable et tout à fait vivable ; ce qui était tout à fait improbable quelques jours auparavant...






La cuisine (presque) terminée :