2018/07/16

Cailloux et trous d'eau : Lozère II

On a pris quasiment les mêmes et on a recommencé… 

On a remis les pieds dans la maison du petit bout du monde Saint-Étienne-Vallée-Françaisois pour égayer le quotidien de son propriétaire, ermite connecté sino-local et yakuso-danois, l'homme aux galons tailladés sur le mollet, l'ours pyrénéen égaré en vallée cévenole, le consultant international qui charge à la pelleteuse et vous coule une dalle de 25 mètres carrés entre l'apéro et le coucher du soleil, le gentil qui ne râle jamais quand vous lui explosez un tracteur, le beau, le grand, le poilu, l'unique tennisman-gentleman-pongiste des escarpements schisteux du comté de Valmalle, l'idéaliste de la globalisation perdu en zone de guérilla naturo-plouco-bio-gauchiste, le grand cœur à la tronçonneuse, l'hôte dévoué aux casseroles minuscules et aux verres à moutarde, le vrai, le seul, le poteau Jorn.
Ben c'était trop bien.











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